Lors du CTM du 21 mai, les fédérations ont réaffirmé leur opposition au projet de destruction de l’action sociale, à ses conséquences sur les personnels et son calendrier de mise en œuvre irréaliste.
Face aux diverses interventions des fédérations, la Secrétaire Générale a concédé à un moratoire de fait, sans toutefois abandonner à ce stade son projet initial.